Chronique critique (PDF)

Partie en France pour vivre librement son amour, symbole de tolérance, Gisèle a toujours été bercée par l’Islam. D’une foi naïve et aveugle, elle a acquis la certitude qu’elle ne pouvait vivre sans le transcendant, et la conviction « qu’il y a une potentialité de mal chez l’homme qui ne sera jamais compensée. » Qu’importe, le combat pour la justice est un combat sans fin. Entre esprit de contestation rock, mouvements féministes, et association pour la tolérance religieuse, Gisèle est de tous les combats, car le combat, c’est vivre.